La nuit devait être tombée depuis un bon moment et j’étais en pleine chasse. J’avais un grand besoin de violence et à chaque fois que je sortais de ma demeure je tombais sur des scènes sans pareil, du sang, le mal, le vice. Il n’y avait que cela dans ce monde et tout ce mal faisait ressurgir en moi des souvenirs que je voulais oublier. Je venais de sortir de ma demeure, j’avais installé un pistolet à ma taille et j’arpentais les rues bien trop silencieuses de la ville déserte. La nuit était chaude et un léger vent venait se percuter sur mon vissage. Je marchais, en quête de danger ou simplement de sensation forte. Malgré le fait que je marchais depuis des heures, je ne trouvais rien pour me changer les idées ou pour me détendre. Après un moment, je finis par arriver dans un parc qui semblait aussi vide que le reste des rues. Pourtant, après être entré à l’intérieur je pouvais voir une silhouette au loin, des formes qui me semblaient celles d’une femme. J’attrapais mon rapidement mon pistolet que je posais entre mes mains, j’avais l’habitude de me trainer une arme ou deux. À ma cuisse se trouvait un large couteau avec une lame en argent. Je marchais lentement vers cette ombre jusqu’à ce qu’un visage se dessiner sous mes yeux, c’était Loann. Elle faisait partie de ses monstres que je tentais d’exterminer de cette terre, mais pourtant, je n’arrivais jamais à mettre fin à ses jours. Je faisais quelques pas vers elle afin d’arriver à sa hauteur, je pointais mon fusil vers sa tête afin d’afficher une moue déçue. Mes yeux bleus glissaient le long de son visage, pour ensuite glisser le long de son corps pendant un instant, elle était belle, mais elle était un monstre. Je ne voulais pas qu’il se passe quoi que ce soit entre nous. « -Loann. Qu’est-ce que tu fais ici? Tu attends que la mort vienne te chercher? Tu es tombé sur la bonne personne dans ce cas.»

Je faisais un pas de plus pour me retrouver tout près d’elle, je posais le bout de mon canon contre son cou alors que je me plaçais tout juste devant elle. Mon regard se posait dans le sien alors que je n’arrivais toujours pas à appuyer sur la détente, comme toujours. C’est ce qu’elle me faisait. Je n’arrivais pas à la tuer parce qu’elle n’acceptait pas du tout sa nature et je la prenais en pitié. Ce qui n’était habituellement pas mon genre. Je l’observais de haut en bas avant de reposer mon regard dans le sien et je disais d’une voix posée, mais très provocante. « -Pourquoi tu es encore sous forme humaine? Je suis certain que le monstre en toi rêve de sortir un peu afin de semer le chaos. Pourquoi tu renies ta nature, c’est ce que tu es maintenant et tu dois accepter ton destin.» Un sourire se posait sur mes lèvres alors que je faisais lentement glisser le canon contre son cou et je la poussais contre un arbre qui se trouvait pas trop loin de nous. Reste à avoir si elle allait vouloir se défendre ou pas.

Vous allez surement me dire : « que fait cette fille à trainer dans la nuit. Elle est tellement fragile, ne recherche jamais les embrouilles, elles viennent a elle toutes seules. Et pourtant elle sort toujours la nuit ». Que voulez-vous, je n’arrive par à rester chez moi, que ce soit le jour ou la nuit. J’ai l’impression d’être enfermée, d’être sans cesse espionnée, je n’aime pas ça. Alors je sors. Ce soir me préparant à la va vite, attachant mes cheveux pour une fois, ne mettant qu’un jean et des tennis, je pars faire un tour à central Park. Cette endroit est peu fréquentable la nuit, il faut être prudent mais étrangement même si j’ai peur de tout, que je ne suis pas courageuse. Ça ne me dérange pas, et je me dis parfois, c’est dans les endroits les plus banals que les problèmes nous tombent dessus. Mais cette fois je me suis trompée. Alors que je me promenais tranquillement dans le parc, quelque chose vint me déranger. Je n’ai pas tout de suite compris ce qui se passait mais je reconnu cette voix, toujours lui, il voudrait me tuer mais le fait pas. Je devrais être rassurée pourtant j’ai peur, j’ai peur de tous les chasseurs. Je ne veux pas mourir, et eux sont tellement insensibles qui n’hésiteront pas à tuer une pauvre fille telle que moi. « -Loann. Qu’est-ce que tu fais ici? Tu attends que la mort vienne te chercher? Tu es tombé sur la bonne personne dans ce cas.»Je ne savais pas que je ne pouvais pas me promener, que c’était interdit, mais peu importe pour le moment je reste tétaniser surtout lorsque le canon du garçon vint se rapprocher de moi et se poser sur mon coup. Il ne tarde pas avant qu’il ne me pose la question que tout le monde me pose : « -Pourquoi tu es encore sous forme humaine? Je suis certain que le monstre en toi rêve de sortir un peu afin de semer le chaos. Pourquoi tu renies ta nature, c’est ce que tu es maintenant et tu dois accepter ton destin.» Je ne veux pas me transformer et ça personne ne peut le comprendre, comme moi je ne veux pas comprendre que je resterais la même une fois transformée. Quand je pense que tout ça s’est à cause de ce type que je croyais être mon père. En attendant le fait d’être encore humaine arrive à me garder en vie. Si je n’étais pas ce que je suis aujourd’hui il m’aurait déjà tué, ayant eu l’occasion plusieurs fois. Je suis tétanisée au fond de moi, ayant peur de la mort, mais d’un autre côté le fait que je sache qu’il ne tirera pas me rassure un peu, pas complètement mais un peu (à tout moment il pourra changer d’avis) Je me retourne alors, m’éloignant de son arme et la regardant. Bahh que c’est moche et méchant une arme, après avoir été surprise devant cette objet je finis enfin par regarder mon interlocuteur et surtout l’homme qui me menace.

« Tu vas me tuer ? Tu l’as dit toi-même je suis encore humaine ! Tu ne peux quand même pas tuer une humaine ? Mon expression en dit beaucoup sur mes sentiments. Je n’ai pas totalement confiance en mes pressentiments, même si je sais qu’il ne me tuera pas, je peux me tromper. Je ne vais pas le provoquer, de toute manière ce n’est pas quelque chose que je fais. Je pourrais, mais j’ai trop peur des conséquences. Il faudrait un élément déclencheur, pour le moment, je suis encore trop menacée. « Ce que je fais de ma vie ne te regarde pas … Pourquoi t’occuper de quelqu’un comme moi qui ne ferait pas de mal à une mouche et pas tuer les vrais monstres comme les incubes ? M’exprimais-je vraiment sincère. Oui derrière ce mot incube, un en particulier est présent. Daemon en premier lieu, même s’il n’ait pas mon ennemi publique numéro 1 (et oui encore un défaut – ou qualité – je pardonne). Pour moi de toute façon les vrais monstres sont les chasseurs qui tuent sans savoir à qui ils ont affaire. Avec moi par exemple.

Elle n’avait pas l’étoffe d’un monstre, elle n’avait pas le comportement, mais je m’acharnais pourtant sur elle. Pourquoi? Je ne savais pas. Peut-être que j’aimais lui faire peur. Elle savait que je n’allais pas lui tirer dessus, mais j’aimerais bien le faire, juste par orgueil, pour lui prouver que j’étais capable de le faire même si elle devait s’en douter. Je venais d’arriver tout juste devant elle et je laissais le canon de mon arme se glisser contre la chair de son cou. J’avais toujours été quelque peu dominateur et c’est surement pour cela que je m’entendais bien avec elle. Douce perle fragile qu’elle était. Je me demandais qu’est-ce qu’elle faisait là parce que je la trouvais tellement fragile et avec le tas de hunters qui traînaient dans les rues. Encore une chance qu’elle soit tombé sur moi nom? Je me trouvais clément envers elle, de lui laisser la vie. Je la poussais contre un arbre afin de me poser devant elle et de laisser mon arme couler le long de con cou, elle l’avait repoussé la première fois et je voulais lui montrer qu’elle ne devait pas me tenir tête. Je plongeais mes yeux dans les siens, sans défaillir un instant. J’étais, pour l’instant, inerte et calme devant elle. Ce qu’elle disait fit même naître un sourire sur mes lèvres alors que je murmurais quelques mots. « -Tu n’es pas humaine, tu en possèdes simplement l’apparence. Moi je suis humain, pas toi. » Je ne retirais pas mon arme qui avait glissé jusqu’à sa clavicule, je faisais une légère pression contre sa peau alors que je l’observais. Comment était-elle devenue ce qu’elle était? Pourquoi ne pas en profiter au lieu d’en souffrir? Si ont pouvais en profiter d’une quelconque façon. Je poussais un léger soupir alors qu’elle me disait des raisons pour que je la relâche. J’avais pour envie de jouer un peu, mais je me demandais encore ce que je pouvais bien faire d’elle. Lui faire peur. Je n’allais pas la tuer, pas encore, sans raison. Pour que je le fasse, elle devait se transformer, mais ce n’était pas encore le cas. Un sourire moqueur prenait place sur mes lèvres alors que j’haussais simplement les épaules. « -Au contraire, si tu deviens dangereuse je vais regretter de ne pas t’avoir tuer, là maintenant.

Dans un mouvement rapide, je rangeais mon pistolet dans son étui alors que je levais une main pour la glisser contre sa joue dans un mouvement lent. Je tenais son visage de ma main droite alors que je ne bougeais toujours pas de ma place. J’ajoutais dans un murmure avant de me reculer et de la relâcher : « -Tu as de la chance d’être sous cette forme. J’espère que tu va continuer de la sorte parce que je ne me montrerai pas aussi clément la prochaine fois. Je me reculais de quelque part pour glisser une main distraite dans mes cheveux. Je me demandais qu’est-ce que j’allais faire. Rester là, avec elle ou trouver quelque chose à me mettre sous la dent. Peut-être devrais-je calmer mes envies de meurtres parce qu’à force, j’allais moi aussi devenir un monstre. Être hunter n’était qu’une défaite pour assouvir mes besoins de violence, mais je tentais de me défouler sur les bonnes personnes. Je ne voulais pas la tuer, parce que c’est vrai que je n’avais pas de raison pour le faire, pas encore, mais j’attendais que le moment vienne pourtant, peut-être qu’à ce moment, je serais encore incapable de le faire. Sans qu’on ne le veuille, on s’attache à ces petites bêtes.

Il ne perd pas de temps avant de me balancer que je ne suis pas humaine. J’ai déjà du mal a l’accepter et voilà qu’il en rajoute une couche. Je sais que je ne suis pas humaine, que je suis différente et cette différence fait que je suis traquée en permanence, le danger est autour de moi. Toujours en jouant avec son jouer qui pourrait faire mal, il me le descend au niveau de la clavicule, j’essaie d’y fait abstraction ne pas lui montrer que je m’intéresse a ce qu’il pourrait faire avec. J’ai toujours peur qu’il appuie sur la détente, on ne sait jamais après tout. Il n’arrête pas de me parler, me faire peur, et il le fait bien. En attendant je ne prends pas la peine de lui répondre, je n’en ai aucune envie et tant que je suis braquée par un flingue. Il suffit d’un peu trop de zèle, d’une réponse qu’il n’accepte pas et paf. Puis il finit par ranger son arme dans son étui, je me sens libérée et donc libre de mes gestes et mouvement enfin. Je vais pouvoir me décoller de l’arbre auquel il m’avait emmené. Il finit ensuite par me dire qu’il ne me tue pas parce que je suis humaine. Sans le vouloir j’esquisse un sourire, un sourire de soulagement et de fierté. Même si je suis rassurée je me rend compte qu’il ne peut toujours pas me tuer, il souhaite juste m’harceler, me faire peur. Ahhh je le déteste, enfin il m’amuse quand même. La prochaine fois, quand je repense a ce qu’il a dit : « la prochaine fois » donc il compte bien encore me traquer. Il ne peut pas arrêter, me laisser en paix. Dans tous les cas maintenant je ne suis plus menacé je peux enfin dire ce que je veux.

« Arrête de m’harceler comme tu le fais, si tu veux me voir morte tu as cas me tuer toute suite, et me foutre enfin la paix. » Oups, je venais de lui parler sur un ton plutôt hautain, oui bha quoi il m’a vexé, et m’a soulé encore. A chaque fois que je le croise, a chaque fois il veut me tuer. Je ne supporte plus ses actes, je ne veux plus avoir peur a chaque fois que je le croise. Je rajoute alors avant qu’il ne ressorte son arme pour peut être me montrer que je devais le respecter. « Tu ne me fais plus peur désormais, je sais que tu ne me tueras pas »Oui je le sais, enfin je le pense, je le pense très fort. J’espère ne pas me tromper et puis de toute manière je m’en moque de ce qu’il fait, j’essaierais de me défendre maintenant. J’en ai marre d’être cette petite fille fragile, trop douce. Il faudrait que je me trouve un coach pour devenir plus courageuse.

La demoiselle était pour moi, une faiblesse et c’est ce qui me fâchait. Je n’aimais pas savoir que j’étais incapable de la tuer et je n’aimais pas savoir que je n’étais pas maître de mes actes. Elle avait un petit quelque chose qui m’empêchait de la tuer, mais qui faisait que j’avais envie de m’amuser avec elle. Ce n’était surement pas une bonne chose pour elle, ni pour moi d’ailleurs. Cela prit un petit moment avant que je ne replace mon arme dans son étui et je faisais ensuite quelques pas pour me reculer. Ce soir, j’avais besoin d’action, mais c’est quand on en cherchait qu’on ne trouvait rien. Je regardais autour de moi, nous étions dans un parc pour enfance. Je faisais quelques pas pour me laisser tomber sur un banc, je laissais ma tête quelque peu tomber vers le ciel pour en observer son étendue. Ce que disait la jeune femme me faisait rire, après un petit moment je finis par lever ma tête et poser mon regard dans le sien. Un sourire sur mes lèvres alors que je laissais mon regard couler le long du visage de la demoiselle. « --Tu n’as qu’à ne pas te laisser faire et montrer un peu de résistance ma pauvre, parce que je ne serai surement pas la dernière à s’amuser avec toi.» Ce qu’elle dit me faisait sourire encore plus. Elle ne se rendait pas compte que c’était exactement ce qu’il fallait qu’elle ne dise pas? J’avais plutôt envie de lui faire peur, de lui prouver que je pouvais bel et bien la tuer si j’en avais envie. Ce n’était pas trop recommander de me dire ce genre de chose, elle aurait dû éviter de me le dire même. Pour l’instant, je restais sur le banc à observer ses moindres faits et gestes. « -Je ne te fais pas peur? Je ne te tuerai pas? C’est relatif, tu sais? Mais c’est vrai qu’en ce moment, je n’en ai pas envie. Par contre, je ne resterais pas fixée sur cette idée, mais ça dépend de toi. »

Un soupire de ma part alors que je finissais par la quitter du regard pour observer ce qui se trouvait autour de moi. Quand elle n’avait pas peur de moi, ça ne m’amusait pas. J’aimais ressentir la peur chez les gens, je m’en amusais, mais là, elle était comme les autres. Je ne savais pas vraiment ce que je cherchais auprès d’elle. J’étais attirée vers le mal et vers tout ce que je me devais de tuer, habituellement. Pourtant, je ne le faisais pas toujours. J’avais deux exemples bien précis en tête, Sara et Deamon. Je devrais me battre contre eux et lutter pour leur mort, mais ce n’est pas ce que je faisais, pas du tout. Je faisais vraiment n'importe quoi, mais c’était tout à fait mon genre. « -Alors si je ne veux pas te tuer. Qu'est-ce qu'on fait? La discussion comme deux êtres humains civilisés?

Il voulait que je laisse ma bête sortir ainsi il pourrait me tuer. Du moins c’est ce que j’ai comprisn mais bon il peut attendre longtemps, je ne la laisserai pas sortir aussi facilement, et de toute manière lorsque je le serais il ne le saura pas, je ferais tout pour ne pas le croiser et rester loin de lui. Il avoue également qu’il s’amusera avec moi lorsque je serais une bête, mais bon il faut dire qu’il s’amuse avec moi depuis un moment, un coup de je veux te tuer, un coup je n’en ai plus envie, bordel je ne suis pas son jouet. Il me parle ensuite de peur, comme quoi ma vie est entre mes mains et bla bla bla comme je le disais plus tôt, tout ça n’est pas fondé. Et la dernière phrase deux humains civilisée ? Lui assis sur un banc, moi je préfère garder mes distances même si je n’ai pas peur. Je ne peux tout de même m’empêcher de me défendre comme je peux.

« Deux humains civilisés ? La personne la plus humaine ici c’est toujours moi ! » Lui est un tueur, alors pour parler d’humain il peut se la fermer, sérieusement il tue sans remord, il est violent, même pour le peu que je connaisse de lui. C’est un monstre comme nous, un monstre tue des innocents et c’est ce qu’il fait, je suis sure qu’il tue des pauvres personnes comme des loups, ou des panthères qui n’ont rien demandé.

« En plus je n’ai rien envie de faire avec toi, tu crois peut être que je vais rester assise là a côté de toi, parlant de la pluie et du beau temps, et qu’ensuite tu reveuille me tuer ? Alors là tu peux te gratter. Je commençais a m’énerver, prenant légèrement du zèle sachant désormais ses attentions. « Je préfère partir, que rester a discuter avec toi. »

C’est alors que je pris le chemin pour partir, mais il semblerait qu’il ne souhaite pas me laisser partir si facilement. Il veut quoi sérieusement, jouer a la dinette ??

Spoiler:

Je restais assise sur le banc alors qu’elle ne semblait pas du tout encline à vouloir me rejoindre, je ne bougeais toujours pas, laissant mon regard couler sur elle. Je ne savais pas quoi faire et je n’aimais pas me sentir de la sorte. Avec elle, j’étais toujours balancée entre le bien et le mal. C’était tout à fait différend de quand je me trouvais avec Deamon. Cet homme me faisait tout à fait le contraire, il avait un effet tout à fait néfaste sur moi. Je poussais un soupir en la regardant, j’allais rentrer, elle ne voulait rien faire. Je n’allais pas non plus m’acharner à parler avec elle, ce n’était pas du tout mon genre. Je ne disais plus rien, je n’avais rien à lui dire et je me voyais mal faire gentiment la conversation avec elle. Je me levais de ma place pour passer tout juste à côté d’elle. « -Nous allons surement nous revoir ma belle.» C’est la dernière chose que j’allais dire avant de la quitter. Qu’elle fasse ce qu’elle veut, moi je n’allais surement pas rester là à tenter de me montrer gentil avec elle. Je la laissais donc là et je retournais à ma demeure, quoi de mieux?

Je me mettais en marche vers chez moi. Elle était un monstre mais qu'avions nous de différent. Pas grand chose en fait? Je n'étais surement pas mieux qu'elle, mon esprit n'avait rien de bon et mon comportement non plus. Le vent se percutait contre mon visage alors que je marchais. Ce ne fut pas très long avant que je pousse la porte pour me retrouve chez moi. J'aurais surement mieux fait de ne pas sortir.