Cameron Aiden Wright
Feat. Hunter Parrish

(c) Popus

Je marchais ,j’avançais sans vraiment regarder derrière moi . Je n’avais jamais vérifier mes arrières ,même avec tout ce qui s’était passé dans ma vie . La peur , la haine , n’arrivait pas à m’atteindre et pourtant j’aurais eus tant raison d’éprouver ses sentiments . Mais ,je n’étais point ainsi . En Angleterre , mon pays d’origine , ma vie avais sauvagement changé . Je n’avais que dix huit ans . Un jeune assez perdu , égaré dans ses dessins et ses livres . J’étais attiré par l’écriture . Mais , ces cette nuit là que je trouva ce qui allait me faire vibrer , me faire rêver et qui allait ne plus jamais me laissait sans aucune imagination. Fasciné , admiratif , ensorcelé par cette nuit et pourtant cette nuit je la détesté à la fois . J’avais perdu , mon guide , ma confidente , ma sœur. On était pas loin d’être des jumeaux , juste un an écart , et elle adorait faire circuler des choses sur moi . Notre relation était diaboliquement enfantine ,même à nos âges avançait . Le charme de notre lien . On se taquinait , on se faisait toute sorte de blague et de coup fourré même de mauvais goût . Mais , à la fin on en rigolait . Même , quand on finissait chez les flics pour ivresse sur la voix public à seulement seize et dix sept ans . On était ainsi . Des gosses de riches qui voulait se sentir libre et vivant , chose qui était si difficile dans notre monde doré .

Ma vie n’allais plus être comme avant . Cela allait radicalement changer . Je n’aurais plus jamais besoin de chercher de l’inspiration ,non car l’inspiration me suivais désormais . Mais, je l’avais perdu elle celle qui avait toujours été là pour moi . Une nuit que j’aimais me rappeler . Je ne comprenais pas vraiment cela , pourquoi aimer une chose à ce point alors qu’elle me faisait si mal ? J’étais donc littéralement fou ?Je ne pense pas . Comme à notre habitude c’était nos paris débile qui nous guidait dans les rues de Londres . On se laissait vaguement guider sans jamais prêtait intention au danger ,ni même à quoi que ce soit . On se laissait vivre au point de toujours repousser nos limites. On était sur le Tower Bridge , un pont qui nous faisait rêver par sa grandeur et sa sophistiqué . Elle marchant sur le trottoir et moi un peu plus haut qu’elle . Un pari encore et toujours plus fort . Je marchais en équilibres sur le bord de ce gigantesque monstre légèrement bourré , non très bourré . Mais , j’y arrivais . Jusqu’à cette blague débile ou je me retrouva projeter dans l’eau . Me faire peur ? Qu’elle abrutie , elle aussi. J’étais trempé et j’étais certainement plus gelée qu’autre chose . Quelque minute passèrent et je commençais à perdre pieds face à se froid ,qui était bien plus fort que moi . J’eus droit au secours qui parcourais sans arrêt l’eau . Je me rappelle que rapidement ; je fus remonté au dessus de se pont cherchant ,ma sœur . Mon téléphone était point étanche et donc ne m’étais d’aucune aide . J’était enragé , au début je pensa tel un enfant abandonné . Ma sœur , m’avait laissé pour mort ? Non . Je la connaissais est savait pertinemment qu’elle n’était point comme ça . Une inconnue , charmante eus l’obligeance de me prêter son portable . Je l’appela . Elle dut me prendre un fou après ce coup de fil. Oui, je n’en croyait pas mes oreilles ,elle était allé plus haut que moi . Je souris . Et me dépêcha de la rejoindre . Je monta au plus du pont où je la retrouva tout sourire de m’avoir battu . Enfin, elle était toujours entrain de vendre la peau de l’ours avant de l’avoir . Je marchais en équilibre , ne prêtant aucune intention à ce qu’elle me disait . Elle voulait me tuer cette blonde ? Assez vite je rejoignis l’autre extrémité du pont où ma sœur était arrivé peu avant .

En y repensant , ma respiration ce coupa d’un coup . La sensation de ne plus avoir d’air dans les poumons était s’y désagréable . Je reprenais le contrôle de mon corps , calmant cette respiration qui venait de s’affoler sans raison . Je me remis à penser à cette soirée … une nuit qui fini mal . On continuait notre route . Une petit drague par là et une autre la-bas . On aimait mêler à nos défis les inconnus au point de prendre son pieds de temps à autres . Je ne suis pourtant pas un salaud . Mais , quand je suis célibataire et point sentimentalement attaché je m’amuse ; je ne fais rien de mal , je me fais simplement plaisir : je suis tout simplement un homme , non pire un humain. Ma réflexion me paraître étrange et pourtant si vous connaissiez toute l’histoire tout vous serez plus clair comme cela l’est pour moi. À cet instant aucun de nous deux ne se dit que la personne qu’on venait de mêler à ça aller vouloir se venger et avoir ma sœur quoi qu’elle en dise . Elle avait parfaitement joué son rôle le draguer jusqu’à le faire devenir fou certainement un peu trop fou. On été ridicule . On rigolait , se moquant presque volontairement de lui . J’en pouvais plus tellement ,je rigolais , je m’en étouffais presque . Mes étouffement revenaient encore et encore me hantait … J’ai rigolé tout comme elle ,mais elle a été seul à payer . Le gars était pas vraiment ce qu’on pouvait appeler de sexy . Il était guère un mec qui pouvait attirer les filles en un claquement de doigt . Puis , son look ne faisait rien pour améliorer les choses . Et , tout ça il le compris vis-à-vis de nos remarque . Je ne compris rien sur le coup . Mais , très vite tout allait devenir clair .

J’abandonna très vite ma boite à photo . Évitant de penser à tout ce qui avait pu se passer cette nuit là . Et , pourtant , cela était bien plus fort que moi , j’étais intriguait par ces bêtes et toutes les autres que beaucoup d’humain ne connaissait pas . Dans notre propre rue se trouvait ces choses sanguinaire prés à tuer . Certes ,moi et ma sœur avions cherché l’un d’entre eux et cela aurait put être un simple humain armé d’une arme ou d’un couteau . Mais , là ce n’était point le cas , c’était simplement un loup garou qui avait tué ma sœur devant mes yeux . J’entendais de nouveau ses cries ardent et aigue qui me hérissait comme cette nuit là les poils . J’en avais la chair de poule , et pourtant en moi en ce jour où lors de cette horrible tragédie , je n’eus point peur . Je ne compris pas dans l’instant pourquoi , il ne s’approcha pas de moi. Une fois loin , j’eux le courage de m’approcher d’elle et elle laissa glisser de sa bouche «  lou… loup …garous » ce fût ces derniers mots et son dernier souffle . Ce n’était pas la première fois qu’elle me parlait de ça , mais à mon habitude je l’a prenais pour une folle . Je bu d’un coup tout le verre d’eau que je venais de boire . Je respirais une nouvelle fois pas intermittence … je me calmais . M’arrêtant totalement de penser . Mais , c’était plus fort que moi , j’y pensais depuis toujours en effet depuis sa mort , j’étais hanté par ces bêtes qui était devenue mais bêtes noir ,mais aussi mon inspiration. Je repensais vaguement à la réaction de mes parents à la mort de ma sœur . Tout était vite revenue à la normale , comme ci j’avais toujours été un enfant unique . Ma vie en Angleterre était devenu légèrement morose ,mais la mort de ma sœur ,me poussa à écrire des livres sur les légendes et compte .J’étais mon propres illustrateur , je me servais de celui que j’avais vu face à moi cette nuit là . Souvent c’était le même dessins .

Cela fait quelque mois que je suis ici : New - York . C’est là que tout devenue de plus en plus claire pour moi surtout au niveau de ma sœur . Une enquêteuse , qui menait déjà des enquêtes sur ces bêtes qui me perturbait tout comme cela l’avait perturbé. Elle parlait de tuer , d’argent et tant d’autre chose. Ma sœur était une tueuse … elle cette fille fragile et naïve ? Enfin, j’en devenais un moi aussi . Mais , j’étais qu’un simple débutant qui n’avais tué qu’avec l’aide d’Alex une autre tueuse qui m’aidait . Je voulais les tuer , les étudier , les admirer et surtout l’aimer . Elle un loup . J’étais devenu perplexe et pourtant je continuais l’entraînement pour pouvoir les tuer. Elle , je l’aimais . Et je l’aimerais certainement indéfiniment . Je ne savais point à notre rencontre où enfin à ces quelque minute de poursuite que j’allais devenir accro à elle à se point . Je t’aimais pas si facilement amoureux et pourtant ,elle m’avait comme hypnotisé . Je me rappel de chacun de mes geste ,mais aussi des siens . Elle avait réussit à me fuir une fois ,mais les autres fois j’eus plus de chance .

« La victoire , de l’esprit sur la matière »

Ce furent les derniers mots que je marquis sur mon brouillon cette nuit là. Elle m’avait envoûté dans cette endroit si froid , lugubre et si peu fréquenté . Un regard , quelque parole , et une fuite qui me poussa à vouloir :l’a revoir . Mon esprit avait été tout simplement emprisonné par elle : son image et surtout ce regard qui m’avait totalement dépassé. Je ne savais rien d’elle et j’espérais la revoir au fond ,mais c‘était peine perdu d‘avance , me dis ai-je l‘instant précis .Rien ne s’était passé comme je l’avais prévue . Une deuxième rencontre alors que j’étais tout simplement installé sur une chaise sur une terrasse de café . Je flirtait avec le monde qui se trouvait dans ce quartier du vieux Brooklyn . Je l’avais interpellé mais à ma vue elle se mit de nouveau à fuir . Je me leva aussi tôt essayant de la trouver . Mais , j’avais du retard ,elle courait vite ; bien trop vite . J’avais eus l’impression qu’elle était grimpé sur les toits , le bruit certainement , mais très vite j’arrêta de penser à ça ,car c’était légèrement impossible , j’eus le plaisir de rattraper au vol un prospectus d’une chocolaterie artisanale . Le lendemain , je m’y rendis et je la vis . J’obtenus ce que je désirais ce jour là … un rendez vous et surtout une chance de comprendre sa fuite face à moi . Mon rendez vous se passa normalement , jusqu’au moment où je me décida de l’embrasser et c’est là que je compris tout . Ces yeux était devenue jaune … elle était pas humaine ,mais loup garou et pourtant cela ne m’avais pas fait fuir . Car je l’aimais et l’aime encore malgré tout ,même si personne ne souhaite nous voir ensemble … au point de vouloir tuer l’un des deux .

Je fini par en avoir marre de penser au passé ,même si je l’appréciais . Je rangea tout ses souvenirs et me décida à rejoindre mon entraînement ayant encore une pensé pour elle : celle que j’aime .

(c) Doomsday.

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