Je marchais encore et encore . J’avais trop d’idée à mon goût . J’en devenais parfois trop rêveur . Puis , ces idées , j’avais beaucoup de mal à les canalisés . Il me manquais quelque chose pour pouvoir les mettre en ordre pour mon récit . Ce livre que j’écrivais depuis quelque temps . Qui parlais des légendes , des gourous . J’avais la chance d’en connaître . Mais ,une m’intéresser plus que les autres . J’en étais devenu dingue aussi dingue que le faites d’être attiré démesurément par ces êtres et pourtant je les détestais au plus profond de moi . C’était étrange comme sensation de les aimais tout en voulant leur mort ? Et pourtant ,j’avais décider de ne rien arranger . En en aimant une entre eux et surtout en n’en tuant d’autre . J’étais devenu un hunter tout comme l’avais été ma sœur avant . Je l’avais jamais compris ,même en fouillant sa chambre et découvrant tout ses secrets . Malheureusement , elle était une hunter elle aussi où alors connaissait l’existence des loups garou ainsi que les destructeurs de cette espèce et de d’autre . J’en arrivais à trop penser , continuant de marcher , je ne savais pas encore me repérer totalement dans cette grande ville . J’aimais pourtant ça . Le faites d’être perdu , insouciant . Ça me rappeler Londres avec elle . Me manqué toujours se piquant dans ma vie … peut être que devenir hunter comme je l’avais choisis m’enlèverais cette sensation de manque terrible.

J’aimais être en danger , c’était bien plus fort que moi . Je joue toujours autant avec ma vie c’est ci bon ,même si à cause de ça elle y avait laissé la vie . Je continuais mon petit bout de chemin , seul dans ses ruelles noirs . Je cherchais un endroit ou bien quelque chose qui me permettrais de tout mettre en ordre dans ma tête . Chose point facile ces derniers temps et pourtant cela me plaisais . J’arrivais à une autre ruelle qui était cette fois ci encore un peu plus lugubre que les autres , un sourire se peignit sur mon visage , un visage qui reflétait à cet instant un sentiment de complaisance , je venais de laisser mes yeux se poser sur cet endroit. Je continuais encore plus assurément ma petit marche , j’arrivais face à cette maison qui avait tout l’air des maisons hantée des parcs à sensation . Mais ,celle là paraissait tellement vrai . Je grimpais difficilement sur la poubelle qui jonchait l’un des murs de cette vielle baraque . Je jeta ma besace à l’intérieure de la maison à travers le carreau déjà cassé . Je passa par la suite mon corps difficilement dans cette petite fenêtre . J’étais largement plus gros que mon sac laissant ce dernier au sol , je contemplais les murs , le sol et tout ce qui se trouvait dans cet endroit . L’une de mes mains flirter avec la matière des murs .

Je mis plus d’une heure a visiter entièrement cette vielle demeure. Je m’étais imprégné des odeurs de pourrir , j’avais eus beaucoup du mal à m’y faire à un tel point que cela me donnais la nausée. Mais , très vite je fus habituais à ce parfum. Je rattrapa mes croquis , je n’avais plus envie d’écrire à cet instant , les images qui traversé mon subconscient n’était que de rapide flash d’une transformation de loup garou . Je m’attaqua donc à ce croquis laissant cette imagination folle faire ces merveilles .

La pluie allait pas tarder à tomber. La nuit était déjà là. New-York plongée dans un sommeil.. Non puisque tous le monde sait que c'est la ville qui ne dort jamais. Pourtant la rue de la chocolaterie est anormalement vide. Calme et presque inquiétante pour tout être humain qui ne serait pas doté de trucs bizarre un peu comme moi. A travers la fenêtre de mon immeuble, dans le vieux brooklyn je regarde dehors. Je suis collée contre celle ci et je ne bouge pas. Pensant à des gens que ma meute n'aimerait pas connaître. Un humain. Et pas n'importe quel humain. Mon imprégné. Un certain Cameron. Une rencontre qui n'aurait jamais du avoir lieu. Une rencontre qui le mènera peut-être à la mort par ma faute et cette rencontre je n'arrive pas à la regretter. Je ne savais jamais quoi faire avec lui. Je ne pouvais pas le laisser loin de moi. Je l'aimais bien trop. Mais si je me rapprochais de trop mon oncle me menacer de la tuer. Pour lui j'étais sa nièce donc je méritais mieux qu'un simple humain. Il voulait le futur alpha pour moi. C'est à dire mon cousin éloigné. Mais il en était hors de question. Je ne voulais pas qu'on me force à épouser, et vivre avec une personne que mon coeur et mon loup n'aurait pas choisi. D'ailleurs j'avais une particularité. Mon coté humain et mon coté louve étaient toujours en accord. Ils voulaient tous les deux Cameron et personne d'autre.

Pourtant il devenait petit à petit un hunter, il allait finir par me chasser... Ou ma famille. Lorsque je pensais à ça je me disais simplement que j'avais qu'à l'aimer. Et que quoi qu'il fasse je l'aimerais. Ce qui était vrai. Ca mort causerait probablement la mienne de désespoirs. Dans certain cas la loup aurait pu prendre la dessus mais pas dans le mien. Si Cameron me quittait je partirais avec lui car il détenait mon âme. Je m'étais imprégnée de lui. Et je ne pouvais pas changer. C'était totalement impossible. Lorsqu'il m'avait embrassé j'avais presque perdu le contrôle. Logiquement lorsqu'on s’imprègne toute la bête prend le dessus, sauf qu'à ce moment c'était le deux. Seuls mes yeux sont passés jaunes, leurs couleurs de loup. J'étais une louve plutôt bizarre, et à la base je me méfiais que trop des humains. Ils avaient tué toutes ma famille. Je n'avais plus que ma soeur. Mais celle ci me reprochait aussi ma condition. Seule ma tante... La seule personne qui comprenait que l'amour était plus fort que tout. Mais elle est morte.

De penser à tous cela je voulais voir Cameron. J'avais un besoin de le redécouvrir, et sentir son odeur, ses lèvres sur les miennes. J'avais juste envi qu'il me prenne dans ces bras et qu'il me dise qu'il m'aimerait toujours. Alors qu'un bruit de tonnerre retentit je ne sursautais pas, ou je sautais juste sur mes pieds avec agilité pour retrouver le parquet usé de ma chambre. Vêtue de mon jean et mes converses noires usées avec un débardeur noir aussi, j'enfilais une veste de survêtement polaire avec capuche. La capuche était un bon moyen de ne pas me faire griller par les loups de ma famille qui traînaient un peu partout. Nous étions nombreux. Tous plus ou moins des émigrés. J'avais des origines roumaines et italiennes. Berceau des légendes sur notre race. Logique puisque nous avons tous débuter en Europe.

J'ouvris ma fenêtre et je sautais sans la moindre hésitation. L'agilité du loup était très pratique lorsqu'on voulait éviter les conflit avec un oncle grognon. Qui allait probablement savoir que j'étais partie.. Franchement je n'en avais rien à faire. Je partis en courant. Vitesse loup. Je me laissais presque porter par lui sans me transformer pour autant. Un loup dans New-York ferait tâche. Je suivais l'odeur de Cameron. Car il n'était pas chez lui. Je la suivait et je m'en rapprochais. Dans le Queens. J'ignorais ce qu'il faisait mais j'allais surement bientôt le savoir. J'avais bien rencontré le beau blond dans une église désaffectée. Endroit ou rare sont les humains pénétrer. J'y venais d'ailleurs parce que j'en croisais jamais dedans. Et il parait que j'avais été béni ici aussi. Drôle de paradoxe des loups croyants. Les gens les mèneraient jusqu'en enfer pourtant alors que nous n'avions pas des créatures de Lucifer.

L'odeur de Cam me fit atteindre une vieille bicoque. Réputée pour être hantée dans le quartier. Je souris. Il cherchait l'inspiration. Lui était un écrivain.. Et il écrivait sur nous. Notre race. Et les gens pensaient que c'étaient de simple livre de contes. S'ils savaient. j'entrais pas une fenêtre brisée. Il était lui aussi passé par là. Une fois à l'intérieur je sentir qu'il était tout près. Je me mis à lui parler par penser. Chose que je pouvais faire avec lui maintenant que j'étais à lui pour toujours.

Que fais-tu ici ?

Un bruit de tonnerre retentit une fois encore. La pluie se mit d'un coup à tomber. Les fuites d'eau ne tardèrent pas.Je regardais partout. La maison n'avait rien d'hanté mas plus d'abandonné. Elle ne faisait en aucun cas peur. Je m'approchais de Cameron. Il dessinait. Le dos tournait à moi. Je souris. Le revoir était tellement bon. Je m'approchais de lui. Je m'installais près pour voir ce qu'il faisait. Et en le découvrant mon regard se porta sur lui. Je souris amoureuse .. Ma louve était totalement en symbiose avec moi.