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 TMA chapter one : Le contexte.

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Ellian M. Mickealson
Ellian M. Mickealson
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MessageSujet: TMA chapter one : Le contexte.   TMA chapter one : Le contexte. EmptyMar 12 Juil - 17:55






TMA Chapter one : Le contexte



Les véritables monstres ne ressemblent pas aux monstres.


On ne croit pas souvent aux mythes, ni aux histoires fantastiques qui bordent notre enfance. Ce ne sont au final que des histoires que nous finissons par oublier une fois plus grands. Mais que faire lorsque les contes deviennent réalité ? Les monstres existent. Ils sont là, parmi les Hommes.

Les monstres sont des Hommes.

TMA CHAPTER 1,
MANHATTAN BRIDGE. THE CITY IS AT WAR.


C’est le chaos total. La ville succombait sous le poids des ignomités des hommes- loups. Ils avaient parcouru la forêt interdite à la vitesse de la lumière. Leur meute était impressionnante, effrayante. L’énergie du mal obscurcissait le ciel de la city that never sleeps, la plongeant dans les ténèbres.

" Ameno amenosto ! Doleve, doleve. So Ha Engeo diabole!"

Les incantations des prêtres raisonnaient dans l’archipel, insufflant aux plus pieux l’espoir de vaincre le mal. Mais ce n’était que du charabia. Rien ne pouvait vaincre les garous. Le diable était en eux, et il contaminait les humains les uns après les autres. Les loups étaient nombreux, un peu trop ! Les forces spéciales avaient mit un temps fou avant de faire le lien entre l’argent et les monstres. Nous nous battions, comme nous le pouvions afin de survivre. La chasse aux monstres n’était pas une partie de plaisir. Nous n’étions pas des héros, seulement de la chair à patté: le bouclier des civiles, mais nous faisions notre travail avec honneur. Et accessoirement avec classe !

Nous avons longtemps combattu les lycans, croyant dur comme fer qu’ils étaient les seuls bêtes au monde. Je ne vous décris pas la surprise générale lorsque nous avons découvert qu’il y avait autant de variétés de garous que de couleur de peau : des rats, des panthères … Les gens devenaient fous. Complètement névrosés. Ils voyaient la menace partout. Plus personne n’approchait les chiens, et les animaux de compagnies étaient envoyés à l’euthanasie par milliers. Mais nous n’étions pas au bout de nos peines. Une entité maléfique, encore plus sournoise et dévastatrice que les garous guettait la ville : Les incubes, ces bêtes assoiffées de sexe et de débauche, tuaient tout ce qui avait le malheur de croiser leur chemin. Ils terrassaient les garous, les uns après les autres, et je devais avouer que nous en avions sentit un certain soulagement. J’avais même naïvement songé à une alliance avec les démons pour tout vous dire. Mauvaise idée. Très mauvaise ! Ces gens-là n’ont pas d’âme, aucune loyauté et aucun sens du respect. Je peux le certifier.

Manhattan n’était plus ce qu’elle était. New York mourrait à petit feu sous le regard meurtris de ses habitants. Quelques uns avaient fuit, mais à quoi bon lorsque les monstres étaient partout ? Leur invasion était imminente et nous ne pouvions que lutter pour la paix. Il n’y avait aucune entente possible, aucun espoir de cohabitation.

Le soleil ne se lèvait plus du même coté. La lune était horripilante surtout quand elle est pleine. La puanteur, et l’odeur du sang coagulé emplissait les rues de malheur. Nous ne pouvions plus supporter de tels affronts mais nous étions trop faibles. Même armés jusqu’aux dents.

L’affrontement continuait.

Nous refusions de perdre, sans avoir au moins lutté pour la liberté.

La liberté n’était pas au commencement, mais à la fin.

Nous vaincrons ou nous mourrons.

Tous.

Extrait du « Journal intime d’un Hunter. »

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